Dernière modification le 14 juin 2024 par Miryam
Ne laisse personne se mettre en travers…
… de ton bien-être !
Si les personnes et les évènements ont une influence sur ton humeur chaque jour, alors tu dépends d’eux. Il est important de préserver son bien-être
Bien sûr on est humain donc c’est parfois à nous de mettre des limites, de créer notre bulle…
Justement, si un évènement tel que le confinement, un proche qui est triste ou malade, une machine à laver qui tombe en panne… baisse ton énergie, c’est embêtant, préserver son bien-être, ce n’est pas non plus se déconnecter du monde.
Imagine si ce n’était pas le cas, est-ce que ce serait pas super agréable pour toi-même si ta joie intérieure perdurait malgré tout.
Ce serait en plus une belle énergie à transmettre à tes proches et tu serais plus facilement inspirée pour mieux vivre le confinement ou trouver une solution à une panne de machine à laver. Voilà tout l’intérêt de préserver son bien-être !
Et c’est possible ! Il y a deux éléments avec lesquels tu peux cheminer dès aujourd’hui et préserver ton bien-être : la responsabilité et l’acceptation !
La responsabilité : tu n’es responsable que de ton propre bonheur. Alors oui, si tu es parent tu es responsable de leur bien-être, mais uniquement de répondre à leur besoin nécessaire. Tu n’es pas responsable de leur bonheur puisque tu ne pourrais pas t’en porter garante. Chacun ne peut que décidé lui-même d’être heureux et de cultiver cette joie au quotidien.
L’acceptation : accepter tout ce qui est.
S’accepter soi : Peut être qu’aujourd’hui tu voudrais être autrement, malgré tout il est important de t’accepter pleinement telle que tu es aujourd’hui.
Accepter les autres : Tu n’es pas obligé de vivre avec tout le monde. Accepte pleinement les personnes avec qui tu choisis de vivre, avec tout ce qui les compose, tout comme tu t’acceptes toi. C’est un chemin parallèle à l’acceptation de soi et en miroir tu vas pouvoir voir où tu en es dans l’un et l’autre domaine.
Pour conclure, préserver son bien-être, c’est se préserver soi, et les autres !
À très vite,
Miryam
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